Dans un premier temps, la littérature algérienne est marquée par des ouvrages dont la préoccupation était l’affirmation de l’entité nationale algérienne par la description d’une réalité socioculturelle qui allait à l’encontre des clichés habituels de l’exotisme, notamment les œuvres anthropologiques publiées dès 1897 par S.A.O Boulifa (titulaire d’une chaire à l’Université d’Alger), Albert Camus aux œuvres à la portée universelle, c’est dans ce contexte colonial qu’on assiste à la publication de la trilogie de Mohammed Dib, l’Incendie, adaptée à la TV, avec ses trois volets que sont la Grande Maison, l’Incendie et le Métier à tisser, maillotsfootfr.com ou encore le roman Nedjma de Kateb Yacine qui est souvent considéré comme une œuvre monumentale et majeure.