Ce faisant, le personnage lui-même a été assimilé à un french lover, qui pose lascivement dans un calendrier dénudé comme les rugbymen des Dieux du Stade. Cette première édition a rassemblé de nombreux acteurs associatifs et culturels et a été fréquentée par 80 000 personnes. Par ailleurs, ces nouvelles communautés s’installent désormais dans les Grands Ensembles édifiés durant les Trente Glorieuses dans la partie sud du territoire communal.