Le 28, la municipalité de Suresnes commence à préparer l’exode des enfants de la ville vers la province, qui commence deux jours plus tard, vers la Sarthe, lieu désigné par la préfecture mais contre l’avis d’Henri Sellier, qui proteste le 13 juin 1940 contre « l’anarchie, l’absence de sens commun qui avait caractérisé l’évacuation des enfants », alors que la ville possédait déjà une colonie dans la Nièvre. Avant le début du conflit, le ministère de l’Intérieur avait établi l’organisation dite de « défense passive », qui visait à charger des volontaires d’assurer les services normalement dévolus à la préfecture de police, maillotsfootfr.com qui serait mobilisée par d’autres sujets et de ce fait dispersée.